Quito
Quito, Quito, Quito, 2800 mètres d'altitude pour une des capitales sud-américaines des plus attrayante. Le contexte géographique y est pour beaucoup avec plusieurs volcans autour et pleins de sites intéressants, mais c'est son coté colonial qui lui confère un charme tout particulier. Bref, on s'y sent bien.
Mais Quito c'est pour nous tout autre chose: un accueil qu'on oubliera jamais, une ville qui veut nous garder, et des habitants qui veulent garder un souvenir de nous (bon çà c'est moins sur, vous comprendrez).
Coughsurfing.org a encore sévi: cette fois-ci, on a été victime d'une famille entière, sur quatre générations. On ne cessera jamais d’être surpris de la gentillesse des gens, et on ne s'en lasse pas. Pendant prêt d'une semaine, il nous on fait découvrir leur ville, leur gastronomie et leur pays. Ils nous ont beaucoup donné et nos 'au revoir' ont révélé qu'on leur avait aussi donné énormément (ça fait chaud au cœur). Sans s’étendre sur se qu'on a vécu, une grande complicité s'est créé. Ils nous manquent déjà.
Quand on se sent bien quelque part, on a tendance à plus facilement faire des folies, et nous quand on fait des folies, on les fait pas à moitié: les Galapagos, rien que çà. Pour ce qui on une autre définition de folie, ce n'est pas une nouvelle position du kama-sutra, mais des îles au large de l’Équateur. Un regard sur notre compte bancaire et une discussion pour se convaincre que même si on crame nos économies de six mois en une semaine, ce n'est pas grave. Oui, les Galapagos, c'est cher: sans avoir posé les pieds sur ce petit paradis, on a déjà mal. Et on a même eu plus mal que prévu. Le simple faite de payer les billet d'avions a vidé notre compte courant, ou comment se retrouver avec 3,94 dollars en poche sans pouvoir retirer de l'argent pendant deux jours. Quito voudrait-il nous garder? On dira plutôt qu'on la fait exprès, pour profiter encore un peu de notre famille d’accueil. On ne le regrettera pas.
Quito, c'est aussi ses habitants. Beaucoup sont à l'image de l’Équateur, adorable, mais d'autre révèle la pauvreté du pays, je veux parler des voleurs. Quand je vous dit que des habitants veulent garder un souvenir de nous, c'est plutôt dans l'idée de nous le prendre de force pour le revendre. Oui, vous l'avez compris, on a été victime d'un vol à l'arraché de notre appareil photo. Je vous rassure tout de suite, on la toujours, surtout grâce à la réaction de Céline. Vu la montée d’adrénaline engrangée ce soir la, l'histoire complète mérite d'entrer dans les flops de l’Équateur. Que les intéressés s'arrachent l'article dans le Guiness...
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Quito: cathédrale sur la plaza de la independencia |
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Quito: vue du Panecillo |
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Quito: sur la route du Pinchicha |
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Quito: les premiers lama |
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Quito: église |
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Quito: basilique de Quito |
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Quito: depuis la basilique |
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Quito: vendeur de mousse de bière |
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Quito: tête réduite des Shuar |
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Quito: église |
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Quito: église |
Mitad del Mundo
Passage obligé en Équateur, la ville où passe la célèbre ligne du même nom. Surtout histoire de prendre la traditionnelle photo: un pied dans chaque hémisphère.. Soit dit en passant, il y a quelques années les chercheurs se sont rendu compte que l'équateur ne passait pas exactement ici, mais quelques kilomètres plus haut. Et çà, il se cache bien de te le dire.
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Mitad del Mundo : Bastien, hémisphère Sud, Céline, hémisphère Nord |
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Mitad del Mundo : l'équateur |
Otavalo
Autre passage obligé en Équateur, Otavalo et son marché artisanal du samedi. On a pas vraiment envie de se retrouver dans la foule d’étranger du samedi alors pour ne pas faire totalement comme tout le monde, on y va un mercredi. Même si il y a en effet moins de monde, les articles proposés sont bien pourris: que çà serait du 'made in china', çà ne m’étonnerai même pas. Il a fallu se battre pour trouver un truc intéressant. En même temps, à quoi s'attendre quand Otavalo est autant connu.
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Otavalo: tenue traditionnelle des indiennes |
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Otavalo: tenue traditionnelle des indiennes |
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