Pour le Mexique (en 26 jours)
Les heures passées dans un bus (bus et collectivo) : 58 heures.
Les kilomètres parcourus : 3400 km.
Les piqures de moustiques : Impossible à dire, on a ramassé.
Le Temps :
- Beau : 21 jours.
- Gris : 2 jours.
- Pluie : 3 jours.
Et que de supers températures (on préfère ne pas les mettre, Ça serait trop gênant...).
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Oaxaca, San Cristobal de Las Casas, Mexico.
- pour Céline : San Cristobal de Las Casas, Oaxaca, Mexico.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Palenque, Toniña, Cenote Dos Ojos.
- pour Céline : Palenque, Gran Cenote, Hierve El Agua.
Les flops :
- 3 compagnies de bus différentes en 3 jours, pour voir un seul et même film : 2012. Sans arrivé à voir la fin puisqu'il dure TROP longtemps ce film de merde !!! (d'ailleurs, si quelqu'un connait la fin, qu'il n'hésite pas à nous raconter les dix dernière minutes). Il ne faut pas oublier qu'on était à ce moment la juste à coté du territoire des Mayas, ceux la même qui on prédit la fin du monde en 2012 : coïncidence ??? je ne crois pas !!! Raison de plus pour profiter !!!
- On vous a dit que les mexicains étaient très serviable (en comparaison avec nos chères compatriotes : les français). Et bien il se trouve que le premier service que l'on a demandé a été a un français. Réponses : un non très hypocrite. Explication : on est à Toniña en train d'attendre le collectivo du retour. A un moment donné, un type prend sa voiture pour partir, lui aussi, de Toniña (on l'avait déjà croisé sur le site, et à son "ola", on a très vite compris que c'était un français coincé). On tente de lui demander de nous ramener (il était seul, nous deux) et voila ce que ca donne : "- Ola, vous allez a Ocosingo? - Euh, non, enfin, oui ... - Vous pourriez nous emmener? C'est juste à coté et le collectivo n'arrive pas. - Euh non, enfin oui, mais, en fait, je, euh, je suis juste assuré pour deux vous comprenez. Moi et un passager. Donc oui je peux mais juste un de vous deux". Le tout avec un grand sourire niais ...
- Quand on vous rend la monnaie, bien vérifier. Deux pièces de 10 pesos peuvent vite se transformer en pièces de 5 pesos (retournés, bien sur, afin de ne pas voir le chiffre dessus). Le tout en nous regardant droit dans les yeux et en disant "-¿Esta bien? - ¡No no no!" Eh Oh gamin, tu nous a pris pour des gringos !!!
- Craquage à San Cristobal au niveau de la technologie: Un ordinateur nous manque, il faut en acheter un tout de suite. Bref on se donne toute les raisons possibles et inimaginable (on pourra trier les photos tout de suite et les sauvegarder plus facilement, on fera notre blog plus souvent, on aura pas à squatter l'ordinateur des couchsurfers ou payer les mauvaises connexions des cybercafés, il y a du wifi de partout, et en cumulant tout l'argent hypothétiquement donné au cybercafé, l'ordi ne nous coute presque rien, puis 2 kg de plus dans les sacs c'est pas grand chose ...
Donc 10 février 2011: achat d'un petit ordinateur HP (on voulait pas cette marque mais on a pas trop le choix et il est dans nos prix)
Mais 13 février 2011: l'ordinateur ne veut pas s'allumer, il s'allume au bout de 5 minutes
Mais 16 février 2011: l'ordinateur ne veut pas s'allumer, il s'allume au bout de 15 minutes
Mais 17 février 2011: l'ordinateur ne veut pas s'allumer, il ne s'allumera plus jamais....
merci HP
Pour le Belize (en 4 jours)
Les heures passées dans un bus (bateau) : 2 heures.
Le Temps :
- Beau : 4 jours.
Une eau à 26 degrés mais beaucoup de vent les quatre jours.
Les 3 moments préférés:
- pour Bastien : Nager avec un raie, Pêcher, Cuisiner nos poissons.
- pour Céline : Nager avec une raie, Observer un magnifique tortue manger, Pêcher.
Les flops :
- Le dernier jour nous décidons d'aller faire un tour en kayak. Ne nous séparant plus de notre canne à pêche, nous emmenons avec nous un petit poisson pêché le matin même pour servir d'appât. Nous nous arrêtons sur une petite cabane en plein milieu de la mer et commençons. Nous prenons un premier poisson, plus gros que d'habitude puis un bien plus gros poissons casse notre canne à pêche en deux (je vous laisse imaginer la taille du poisson étant donné que notre fil de pêche pouvait tenir jusqu'à 6,5kg). Bref nous continuons quand même et pêchons même un autre gros poisson. Puis un énorme poisson partira avec notre dernier hameçon. Quel cruel monde. Ce sera notre seul flop (si on peux appeler ça un flop). Que nenni, nous achèterons bientôt un fil de pêche plus résistant et de nouveaux hameçons. On va les avoir ces gros poissons...
Pour le Guatemala (en 33 jours)
Les heures passées dans un bus (bus et collectivo) : 53 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : 24 jours.
- Gris : 5 jours.
- Pluie : 4 jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Antigua, Quetzaltenango, Nebaj.
- pour Céline : Antigua, Quetzaltenango, Nebaj.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Tikal, Semuc Shampey, Region Ixil .
- pour Céline : Tikal, Le Pacifique, Region Ixil .
Les flops :
- Pendant notre semaine à ARCAS, on a eu le droit, dans notre chambre, a un scorpion par jours pendant trois jours. Tous de tailles différentes, le must du must étant celui du deuxième jour: Énorme. Mais ne vous inquiétez pas, ils ne sont pas mortels, on risquait juste d'être paralysé pendant un jour et demi.
- Notre première douche chaude au Guatemala aura lieu 15 jours après notre entré dans le pays. Oui ici, c'est douche froide pas le choix...
- Trois jours de trek, chute de Céline le premier jour dans une grosse descente sur son genou droit (égratignure et choc). Et comme si ça suffisait pas, exactement la même chute le troisième jour. Merde ça fait mal...
- A l'arrivée à Panajachel, il nous fallait internet pour savoir si nous avions un couchsurfing. Pas de wifi, mais une boutique souvenir avec internet à un prix très intéressant (3Q l'heure). On a dit banco! Deux jours après, rebelote dans la recherche d'un couchsurfing pour la ville suivante. Pourquoi pas le même cyber alors !!! Ben parce qu'aujourd'hui c'est 6Q: en fait toujours 3Q de l'heure mais vu qu'on est deux sur l'ordinateur, le prix double. « - Heu !!! Ben on était aussi deux sur l'ordinateur la dernière fois... ». Ce n'est pas le prix qui nous gène dans tout ça, mais la manière de doubler sans aucune raison. Bienvenue à Arnaque-Land.
Le costume traditionnel des hommes à Santiago Atitlan est un pantacourt blanc à rayure mauve: super sympa. « j'en veux un !!! ». Essayage et négociation pendant pas mal de temps et dans différentes boutiques. Résultat: une des boutiques a des pantacourts plus propres mais plus chers et elle ne semble rien vouloir lâcher sur le prix. Arg !!!. On accepte de le prendre mais au prix du marché. Elle prend le pantacourt avec elle et part dans une autre pièce en nous disant qu'elle va voir ce qu'elle peut faire. Elle revient deux minutes après en nous proposant un meilleur prix, posant le pantacourt tout bien plié sur la table. Hum, ça sent l'arnaque, on demande à revoir le pantacourt. Ça a pas loupé, en l'ouvrant on a découvert une énorme tache verte !!! Elle avait fait un échange la coquine !!!. A oui j’oubliais, on est bien à Arnaque-Land.
Allez une petite dernière. Avant manger: « - Sympa ces poupées ! ¿Cuanto cuesta ? - 60Q ! - Gracias ». En mangeant : « - Bien ces poupées, on trouvera pas mieux ! - Ok on les prend ! ».
Après manger : « - Queremos las pequeñas chicas ! - Ok, 120Q por favor ! - Disculpe ? Has dicho 60Q esta mañana ! - No ! ». Et oui, l'art de doubler les prix en seulement deux heures. Arnaque-Land, toujours Arnaque-Land !!!
- Le moment est venu pour nous d'envoyer un colis en France. On ne sait pas son poids donc on va le faire peser à la poste: 5.70 Kg. Les tranches tarifaires sont 4 – 6 Kg et 6 – 8 Kg. « - Ha mais non ! On ne va pas leur donner 300 grammes !!!» On rentre, on rajoute un ou deux trucs dedans, on ferme le colis et on le ramène tout bien fermé. Première surprise, la postière doit regarder dedans et vu le temps qu'on a mis pour le fermer, ça fait chier (elle aurait pas pu nous le dire avant, c'est pas comme si on était passé plusieurs fois pour demander comment ça se passait !!! puis pareil pour le papier craft qu'il faut que tu achètes ailleurs pour emballer ton carton, non ça il faut surtout pas le dire !!!). Bref on négocie avec elle, « - Mais non madame je vous jure il y a rien de dangereux dedans, des draps, des sacs, des souvenirs quoi ! ». OK ça passe, ouf ! Deuxième surprise, on le pèse : 6.01 Kg. Pour 10 grammes (pesé avec une balance pas très précise), elle nous fait passer dans la tranche supérieur. Au pays de l'à peu près, ça fait bizarre. Pas de négociation possible... on tente tout mais rien y fait. Résultat: une heure à la poste pour défaire le colis, enlever des objets et refaire le colis. Et le pire c'est qu'avec la nouvelle pesée, madame ne savait plus trop si ça passait. Pas de problème la voilà qui appelle un de ces collègues qui met 10 minutes à arriver, qui regarde pendant 5 minutes la balance, qui prend en photo la balance avec son téléphone !!! « - Heu, c'est pas tout ça mais on a pas toute la journée non plus. » Allez c'est bon !!! Et ben, on l'aura envoyé notre colis à 6kg tout pile, mais quelle histoire. Et le plus triste dans tout ça c'est que cette histoire aurait très bien pu se passer en France, non ? (avec une heure de queue de plus au départ). Inefficacité quand tu nous tiens...
- Sur la route de Monterrico, se taper l'album entier de Enrique Inglesias, c'est un vrai flop !!!
- Quand vous allez vous baigner à l’océan, dans de gros rouleaux, vous gardez vos lunettes ou vous mettez des lentilles de contact ? Des lentilles pardi ! Et bien pas tout le monde est de cet avis. N'est-ce pas Céline ???
Céline: Ce n'est absolument pas ce que j'ai voulu faire. J'étais juste en train de profiter de l'océan, j'allais enlever mes lunettes pour les poser mais une énorme vague est arrivé et je n'ai rien pu faire... ce n'est vraiment pas de ma faute :(
Pour le Honduras (en 3 jours)
Les heures passées dans un bus (bus et collectivo) : 15 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : 3 jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Aucunes.
- pour Céline : Aucunes.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Aucun.
- pour Céline : Aucun.
Les flops :
- Le pays en lui même est un flop !!!
Pour le Nicaragua (en 16 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bus, collectivo et bateau) : 40 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : 16 jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : El Castillo, Granada, Leon.
- pour Céline : Granada, Leon, El Castillo.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Concepcion, Rio San Juan, Cerro Negro.
- pour Céline : Cerro Negro, Rio San Juan, Playa Maderas.
Les flops :
- Pour le Cerro Negro, si c'était à refaire, on choisirait un autre tour-opérateur, celui de l'hotel où l'on était par exemple. Et oui, à trop vouloir chercher le tour-opérateur idéal, on en oublie l'essentiel : la simplicité !!!
- Un des plus gros flops au Nicaragua : Céline et le surf. Tout est dit dans l'article : méduses, blessure et coup de soleil ...
- Les volcans ne sont pas vraiment avec nous : trop tôt ou trop tard, mais jamais au bon moment !!!
- Ne jamais prévoir de vacances en Amérique Latine pendant la « Semana Santa » : le monde s'arrêterait presque de tourner !!! Alors vous imaginez bien les bus !!!
- Ne pas avoir pu se laver à l 'eau chaude au Nicaragua, ça c'est aussi un vrai flop !!! Mais avec la chaleur de l'été, ça nous a fait ni chaud ni froid !!!
- Petite devinette : en arrivant à 6h30 du matin à San Carlos, à quelle heure partirons nous pour El Castillo (sachant que des bateaux partent à 8h00, 9h30 et 11h30 )? Vous me direz certainement 8h00! Ben quand on fait la queue pendant 2 heures (une heure pour passer dix personnes, et l'autre heure pour en passer deux), on loupe forcement celui de 8h30. Mais quand en plus la guichetière est qualifiée pour travailler à la SNCF, on loupe aussi celui de 9h30!!! L’efficacité nicas!!! Il faut aussi préciser que c'est la première fois depuis longtemps qu'on doit passer par une billetterie et que la soit disant organisation nous fait perdre plus de temps.
Pour le Costa Rica (en 26 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 59 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Plus ou moins beau : 13 jours.
- Pluie : 13 jours.
Les 2 villes préférées (on vient pas au Costa Rica pour les villes):
- pour Bastien : Tortuguero, Alto Katsi
- pour Céline : Tortuguero, Alto Katsi
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Corcovado, Tortuguero, Arenal
- pour Céline : Corcovado, Tortuguero, Arenal
Les flops:
- Difficile à dire, mais le Costa Rica tout entier aura été un flop au niveau de l'organisation. Nous qui nous étions habitué au pays dits «désorganisé», nous n'avons pas du tout géré le retour à un pays plus développé. Aller à tout moment à la gare en sachant qu'on partirait dans les 5 minutes, ne jamais se dire qu'un site serait peut être fermé, ne jamais se renseigner avant d'aller dans un parc pour en connaître les conditions d'entrées, ou juste, faire ce que l'on veut sans perdre de temps (le rêve pour des backpakers ne pouvant pas prévoir où ils seront dans une semaine), et bien, tout cela est devenu impossible au Costa Rica. Ici, il faut tout prévoir: il y a deux bus dans la journée donc si tu loupe celui du matin, autant dire que tu as perdu ta journée!!!
Le meilleur exemple pour nous reste l'organisation pour le parc Corcovado. Prise de décision à la dernière minute (le jeudi après midi pour le vendredi matin). Coup de bol, on mange le soir même avec notre couchsurfer et un de ses potes allemands. Il nous prévient alors que ce qu'on avait prévu n'est pas possible, qu'il faut les appeler avant et faire toute la procédure expliquée dans l'article de Corcovado. Et merde, une journée de perdu!!! Mais nos efforts ont été pleinement récompensé!!!
- Corcovado, même s'il reste un de nos meilleurs souvenirs au Costa Rica, sera synonyme de nombreux flops.
La première nuit en tente a été un vrai calvaire. Imaginez vous dormir dans un sauna (allumé, bien sur) et sans pouvoir sortir à cause de toutes les bêtes sauvages qui t'attendent dehors (moustiques, serpents, fauves, araignées, …). Résultats, des hectolitres perdus se retrouvant dans nos draps et vêtements, et dix minutes de sommeil à tout casser. De quoi entamer les 16 premiers kilomètres de trek de la meilleur manière.
La troisième nuit aura été pas mal non plus. Entre chaleur et moustiques, j'ai choisi les moustiques et j'ai échangé ma place dans la tente avec celle de notre petit déjeuné du lendemain matin. Mauvaise idée!!! Non pas pour moi, mais pour la tente et Céline. Une colonie de rats a décidé de prendre notre petit dèj en avance (tout çà au milieu de nous, sous nos yeux endormis). Mais comment sont-ils rentrés me direz vous??? Vous croyez vraiment qu'une tente résiste à des rats??? Non non non!!!. Résultat: deux magnifiques trous dans notre moustiquaire. Va falloir se mettre à coudre!!!
- On a été victime d'une tentative de vol de nos affaires lors d'un trajet en bus. Rassurez-vous, on a l’œil et on les a pris en flagrants délit. Du coup, les voleurs ont paniqué et aucune pièce manquante n'est à déclarer. Les sacs étaient juste au dessus de notre tête, et nous on somnolait (grosse erreur mais bon 8 heures de bus quand même!!! ça fatigue). Le bus était plein et trois types n’arrêtaient pas de se déplacer dans le couloir. C'est louche. Un d'eux était juste à coté de nous et se tenait avec ses poignets et non pas avec ses mains. Mais à quoi lui servent ses mains??? C'est très louche. Ça a été suffisant pour m'envoyer un bon coup d’adrénaline, et les fusiller du regard. «Tiens comme c'est bizarre, les mains réapparaissent». Je ne les ai plus lâché du regard et à l’arrêt suivant ils sont descendu. Je me suis précipité sur nos sac pour constater qu'ils étaient bien ouvert. Mais nos lampes ne les intéressaient pas. Ils n'ont pas eu le temps d'aller plus loin et heureusement. Ceci dit, tout nos objet de valeurs sont toujours avec nous dans un autre sac. On risquait pas grand chose. Mais ça nous a donné un bon coup de flippe!!!
- La ville frontière de Sixaola est tout simplement affreuse. On le savait, mais on s'est dit que les gens exagérait peut être à son sujet. Et puis, autant se rapprocher de la frontière au maximum et c'est juste pour une nuit!!!Et bien les gens n’exagère pas du tout, c'est moche et tout le monde nous conseil un hôtel en face du poste de police, car c'est plus sur. Résultat, 20$ pour une chambre miteuse (des blattes viennent te chatouiller les pieds quand tu prends ta douche). Ville à éviter!!!
- On s'est souvent demandé si l'on devait suivre les conseils culinaires du Lonely Planet: «Boulangerie Dorling, excellents pains et pâtisseries maisons, d'une fraîcheur irréprochable». Ça semble pas mal non??? Aller, on test!!! Les empañadas au poulet on l'air plutôt pas mal. On commence par un chacun. C'est le meilleur qu'on est mangé jusqu'à présent. On en reprend un (pour deux cette fois-ci). En tant que goinfre officiel, je le gobe littéralement et je vois Céline s’arrêter en chemin et faire une tête plus que bizarre. Oups, qu'est-ce que j'ai mangé. Elle ne me dit rien mais me montre juste son morceau: pas flagrant à première vue, mais infesté de petits asticots!!! Beurk!!! Bon çà nous a fait quelques protéines en plus.
Pour le Panama (en 32 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 72 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Plus ou moins beau : 21 jours.
- Plus ou moins pluie : 11 jours.
La ville préférée:
- pour Bastien : Panama City.
- pour Céline : Panama City.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : San Blas, le Canal, Bocas del Toro.
- pour Céline : San Blas, le Canal, Bocas del Toro.
Les flops:
- Sur Isla Carenero, les chitras nous évoquaient plus une tribu indienne qu'autre chose, et ça nous démangeait déjà de les rencontrer. Ben la rencontre n'a pas été celle escomptée. Il s'agit en fait d’invisibles petits moustiques qui te mordent au lieu de te piquer. Il sont si petit qu'il peuvent être une dizaine par centimètre carré. Et honnêtement, je ne sais pas ce qui est le pire au niveau démangeaison: les chitras ou les moustiques. D'autant que même si tu peux plus facilement les tuer, il sont si nombreux que tu ne peux rien faire. Et ce n'est pas le spray anti-moustiques qui va changer quelque chose. On a ramassé!!!
- Je n'aurai jamais pu m'imaginer dire: « cette eau est trop chaude!!! ». Et bien à Bocas Del Toro, s'est arrivée. Et mes petites oreilles n'ont pas supporté cette chaleur et sont tombées malades: une bonne otite du nageur. Ça fait mal, très mal!!!
- Jusqu'à présent, le couchsurfing a été pour nous plus synonyme de bonne surprise que de mauvaise. Et ben, le couchsurfing de Panama City est à classer dans les pires rencontres. C'est un canadien abjecte, imbu de sa personne, fier et égoïste (les qualificatifs ne manquent pas pour le décrire) qui est en mer depuis près de quatre ans. Il se sert du couchsurfing comme moyen de bouffer gratis. Un vrai connard!!! Et en plus de son problème de supériorité, c'est un obsédé sexuel. Voici d'ailleurs son identité au cas ou vous le croiseriez: James Halley, 51 ans, navigant sur le bateau «paramour III».
Notre départ de chez lui a d'ailleurs été remarquable. Pour des filets de poisson trop moches et trop petits à son gout, il a refusé de manger et a fini par nous faire remarquer quand tant que capitaine il méritait bien mieux. Le sang n'a eu le temps de faire qu'un tour dans nos veines avant de l'envoyer chier et de lui dire de nous ramener sur la terre ferme illico presto. Et a 21h00 un vendredi soir dans la capitale, bonjour pour trouver un hôtel. On s'est retrouvé dans un taudis, certes pas cher mais a coté du plus gros ronfleur jamais rencontré. Quelle soirée!!!
- La suite de l'accident de bus (décrit dans l'article de la semaine de merde) est plutôt pas mal. En sortant du bus, on ne s'est pas privé pour envoyer bouler le conducteur, en lui faisant remarquer son comportement inconscient sur la route. Il a bien sur nié toute responsabilité et nous a gentiment réclamé le montant de la course, soit 8$. Pas grand chose, mais quand on a failli perdre un œil, c'est déjà bien trop. On lui dit merde et on se casse, mais cent mètres plus loin, ce sont quatre flics en bécane et armés jusqu'aux dents qui nous abordent. La discussion commence, mais devant l'intelligence policière, elle se poursuit longuement (ce n'est pas comme si notre train partait dans dix minutes). Pour eux le service, de nous emmener d'un point A à un point B, a été rendu (peut importe l’état dans lequel on arrive) et il faut donc payer. Un mec super sympa a assisté à la scène. Il devait connaître un des flics puisqu'il a engagé la conversation avec lui et a décidé de payer pour nous. On a d'abord refusé (ce n'était pas l'argent mais le principe), mais il nous a répondu que les flics d'ici étaient très têtus, qu'on n'était pas en Europe et que l'histoire pouvait encore durer des heures. On l'a finalement laissé s'arranger avec les flics. En fin de compte, on a réussi à prendre le train.
- On avait déjà remarqué que les gens d'ici n'osaient jamais dire qu'ils ne savaient pas. Eh ben à Panama City, on en a eu encore un bel exemple, peut être le meilleur. On voulait aller voir Rio au cinéma à la séance de 15h00. C'est dans un grand centre commerciale et on passe devant le ciné à 11h00: fermé, jusque la rien d'anormal. A 13h30 on voit des personnes attendre devant. Ils nous disent que le ciné devrait déjà être ouvert: bizarre. On va donc à la pêche au information dans différents magasins :
- « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? A 16h00! » Avec une séance à15h00, étrange!
- « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? A 13h00! » Ah, plus logique, quoique qu'il est déjà 13h00 passé!
- « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? A 14h00! » Oula, personne de d'accord!
- « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? A 19h00! » Ils ne vont pas nous faire toute les heures quand même! - « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? A 14h30! » Allez, une de plus!
- « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? A 15h00! » Et encore! Il est 14h40, dernière tentative.
- « Bonjour, à quelle heure ouvre le ciné? Il devrait ouvrir maintenant! » Ah il prend moins de risque celui la!
Et miracle, à 14h45 le rideau se lève.
Ça ne servait vraiment à rien de demander!!!
- On n'est pas encore arriver en Colombie que la drogue fait déjà parler d'elle. Comme beaucoup le save, il y a un fort trafic de cocaïne au départ de la Colombie. Les trafiquants utilisent beaucoup la voie maritime et lorsqu'ils font face à l'armée ou à la police, ils jettent toute leur cargaison par dessus bord, cette même cargaison arrivant souvent, paquet par paquet, sur les iles des San Blas.
En se levant tôt le matin, il paraitrait même que tu peux voir les kunas faire le tour de chaque ile, récupérant les petits paquets, les ramenant à un Colombien contre environ 2000 dollars par paquet, pour qu'il se charge du rapatriement pour une prochaine expédition.
Et bien sur, qui se baladait un jour sur une des iles et a trouvé un petit paquet (de farine bien sur!)??? C'est moi!!!
L'occasion inespéré de devenir richissime en l'espace d'un rien de temps. Mais la raison est la, et on ne préfère pas s’immiscer dans ce trafic. Les rumeurs sont la pour nous en dissuader.
Les top du top et les flops des flops du Mexique et de l'Amérique Centrale (en 140 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bus, collectivo et bateau) : 12.5 JOURS.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : 102 jours sur 140. Plutôt pas mal.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Oaxaca, Antigua, San Cristobal de las Casas.
- pour Céline : Antigua, Oaxaca, San Cristobal de las Casas.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Corcovado, Palenque, San Blas.
- pour Céline : Corcovado, Caye Caulker, Canal.
Le flop:
Confirmation sur confirmation, on peut vous certifier une chose: les taxis d’Amérique Centrale sont de vrais connards. Cette vérité peut même se généraliser aux autres transports en commun (bus, collectivo, …). Certes il y a eu quelques exceptions, mais les faits sont la: ils ne manquent jamais une occasion de vous mentir, de vous faire peur, de vous arnaquer ou de vous voler. Quelques exemples:
- A la frontière Costa Rica – Panama, un taxi va d'abord nous dire qu'il n'y a pas de bus (mon cul, c'est du poulet!!!), un autre nous dira qu'il y en a bien un, mais que pour les étrangers c'est le même prix qu'un taxi (tu nous as pris pour des chèvres!!!)
- L'excuse la plus classique: «- le prix du gallon a augmenté, d’où le prix! - oui mais tu utilises vraiment dix gallons pour faire dix kilomètres!». Et çà c'est quand ils essaient de se justifier.
Bref, on en a pleins d'autres, mais ça serait leur faire honneur que de trop parler d'eux.
Pour la Colombie (en 27 jours) et sans l'Amazonie
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 78.5 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : 16 jours.
- Beau / Pluie: 5 jours.
- Pluie : 6 jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Barichara, Villa de Leyva, Cartagena.
- pour Céline : Barichara, Villa de Leyva, Cartagena.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Ciudad Perdida, Museo del Oro, Cañon de Chicamocha.
- pour Céline : Ciudad Perdida, Museo del Oro, Zipaquira.
Les flops:
- Après le camion frigorifique, le bus congélateur. La clim des bus colombien est binaire: soit elle est éteinte et il fait très chaud, soit elle est allumée et il fait très froid. L’intermédiaire, ils ne connaissent pas!!! Heureusement que Céline pense à prendre son duvet (j'y pense aussi mais il est tellement mieux dans son sac), çà peut (presque) nous sauver une nuit à -12 degré.
- Céline tête en l'air, acte II. Après la paire de lunettes de soleil à sa vue perdu dans l’océan, elle a décidé d'oublier sa veste à l’hôtel de Salento. Le temps de s'en rendre compte, on était déjà dans le bus pour notre prochaine étape, Manizales. Résultat, une étape intermédiaire pour moi, le terminale de bus de Pereira, et un aller retour bonus de 3 heures (Pereira - Salento - Pereira) pour Céline. Tout est bien qui fini bien pour cette fois, la veste est de retour.
- Dernier soir à Bogotá, on se dit "- tiens si on allait gouter les bieres colombiennes!!!". Et bien on se fera jeter car on avait pas nos passeports sur nous et on avait l'air trop jeunes..... LA HONTE!!!!!! "- Mais steplai, jtijure on a 26 ans!!!" TROP LA HONTE!!!
Les tops:
Généralement, les tops sont réservés aux articles principaux du blog. Mais la, ce sont des tops qui méritent amplement leurs places dans le Guiness. Le lien entre tous: la gentillesse et la générosité des colombiens.
- Une fois à Villa de Leyva, on a pris le temps de se renseigner sur ce qui était intéressant à faire. Après vingt minutes de discutions avec un colombien, on se retrouve invité à prendre un café "sin compromiso". Surpris au départ (en plus, le café et nous, ça fait trois), on fini par accepter et on passera un bon moment avec lui et deux autres jeunes qu'il connaissait.
- Pour le retour de notre rando à la lagune d'Iguaque, on loupe le collectivo. Le suivant étant plus de deux heures plus tard, on décide d'avancer à pied, tout en faisant du stop. Il n'y a pas un pelo pendant une heure lorsqu'on arrive à un mini village (plus petit qu'un village: une ferme et une épicerie!). La bas, deux hommes sont en train de boire une bière et nous préviennent que le 4x4 juste à coté part dans cinq minutes pour villa de leyva. On dit banco, et cinq minutes, c'est juste le temps de se faire offrir une bière. Dix minutes plus tard, on se fait ramener gracieusement jusqu’à Villa de Leyva et on apprendra que notre chauffeur est un taxi privé. Trop sympa!!!
- A peine une heure après être arrivé à Raquira, le temps de chercher un hôtel et de se rendre compte qu'ils sont ou pleins ou hors de prix, on décide de repartir. De toute façon, la ville est sans intérêt. Pour faire plus vite, on tente le stop. Et la, record battu: trente secondes et deux voitures plus tard, on est pris et on tombe sur une perle. Pour faire rapide, en une heure de trajet, il nous aura offert de la bouffe (arepa, fruits et sucreries), invité dans un restaurant (à manger de la viande cuites au feu de bois et boire une petite mousse) et invité à dormir chez lui. On a du décliner cette dernière proposition, car on avait déjà rendez vous à Bogotá avec un couchsurfer, mais pour le reste, impossible de refuser ou de payer quoique que ce soit. Encore une fois, le type, bien que chauvin, a été plus que sympa!!!
- En allant prendre le bus pour la région du café, on se fait accoster par un type à Bogotà. Il nous dit qu'il a lui aussi été backpacker, et qu'il aimerait nous inviter à manger. Ca surprend. On ne le connait ni d'Adam ni d’Ève, mais il avait l'air sincère et sympa. Malheureusement, notre bus partait quelques minutes plus tard, et on ne pouvait pas se permettre de le louper. Dommage, car c’était vraiment gentil de sa part.
- Au risque de se répéter, le couchsurfing est vraiment incroyable. A Manizales, ça c'est plus que confirmé. On est ses premiers couchsurfers, et à notre arrivé à la gare, il vient nous chercher et nous emmène manger un hamburger dans un de ses coins favoris (ça, on adore!). Je lui demande d'ouvrir le coffre pour récupérer des sous, mais il s'empresse de refuser pour nous dire qu'il nous invite. C'est son cadeau de bienvenue. Le lendemain, il se propose de nous déposer en ville et de venir nous rechercher plus tard. Trop gentil. Pour le remercier, on se met au fourneau pour une bonne petite bouffe comme on sait les faire. Pour nous remercier en retour, il ira chercher des bières et de l'aguardiente (un alcool local). Impossible de payer à sa place, et ce n'est pas faute d'avoir essayé. Ce sera une excellente soirée bien arrosé (on avait commencé au vin). Le lendemain, au moment de partir, il me demande si j'aime son collier et il me l'offre. Il fait de même pour Céline avec son bracelet. Il est d'une générosité époustouflante. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il ne roule pas sur l'or, et qu'il est au chômage depuis plus d'un mois. Enfin au chômage, disons qu'il aurait été si le chômage existait en Colombie. On repart de ce couchsurfing plus frustré que jamais de ne pas avoir pu lui offrir plus.
Pour l'Amazonie (en 15 jours): Colombie, Pérou, Equateur
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 94 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau / Pluie: 15 jours.
Les 3 villes/villages préférées:
- pour Bastien : Mazan, Iquitos, Santa Clotilde.
- pour Céline : Mazan, Santa Clotilde, Pantoja.
Le site préféré:
- pour Bastien : Jungle.
- pour Céline : Jungle.
Les flops:
Pour une fois qu'il n'y en a pas!!!
Pour l’Équateur et les Galapagos (en 33 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 64 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : ? jours.
- Beau / Pluie: ? jours.
- Pluie : ? jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Quito, Saquisili, Baños.
- pour Céline : Quito, Saquisili, Baños.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Cotopaxi (volcan), Galapagos, Quilotoa.
- pour Céline : Cotopaxi (volcan), Galapagos, Quilotoa.
Les flops:
- Céline, poids mouche avec ses 56 kilos. Jésus (on l’appellera comme ça), poids plume avec ses moins de 50 kilos. Voilà l'affiche du combat qui a eu lieu dans les rues de Quito au beau milieu de la nuit. Le gong retenti, Céline profite de la nuit pour immortaliser Quito, Jésus se jette alors sur l'appareil photo, tentant de l'arracher. Céline le tient bien en main et répond par une série de bons coups de pied. Le public est en transe: Amparito cri «ladron, ladron, ladron», moi, mauvais joueur au possible, je vais aider Céline à coup de mandale dans la gueule de Jésus. Et vous savez ce qu'a fait Jésus??? Non il n'a pas tendu l'autre joue!!! Il a fui comme une mauviette. Victoire sans appelle de Céline et surtout droit de conserver notre appareil photo.
- Même si tout a été dit dans l'article principal, on est quand même resté bloqué avec 3,94 dollars dans une capital pendant deux jours. Certes, c'est pas Paris, mais çà mérite d'être cité dans les flops.
- Autant il y a des flops qui se finissent bien, autant d'autres non. C'est le cas de celui-la. Après un Cotopaxi et un trek dans les Andes, la première chose à faire quand on arrive à Baños est d'aller se relaxer dans des sources d'eau chaude. Après avoir posé TOUTES nos affaires (portefeuille compris) chez notre couchsurfing fantôme (on a rencontré que son colocataire), on s'y presse rapidement. Erreur, même si les couchsurfings nous ont jamais posés de problème, on est jamais à l'abri. Cette fois-ci, çà nous a coûté 40 dollars. De quoi foutre les boules, surtout qu'on s'en est rendu compte une fois parti de Banos. Rien ne prouve que c'est vraiment lui (enfin son colocataire), mais la coïncidence est troublante.
- Un petit mot sur les touristes. Le mois d’août en Équateur ne nous a pas semblé si terrible que ça, s'éloignant autant que possible des touristes. Mais il a bien fallu s'en rapprocher sur les Galapagos et c'est vraiment du grand n'importe quoi. Je ne parle pas du français qui arrive en furie sur la jeune réceptionniste de l’hôtel pour lui crier dessus « EAU CHAUDE !!! » pour son thé. Alors connard, déjà on est en Équateur donc cette gentil réceptionniste parle espagnol et non français!!! Mais puisqu'elle est plus intelligente que toi, elle parle aussi l'anglais, tu peux donc tenter en anglais !!! Sinon elle n'est pas sourde, et puis SVP en espagnol, c'est 'por favor'. Même toi tu peux y arriver!!! Mais honnêtement, les pires touristes ne sont pas français, ce sont sans équivoque les équatoriens. Et des exemples, on en a à foison, mais parlons du pire. En route avec une famille de trois équatoriens pour voir les tortues géantes terrestres, le guide explique, avant d'entrer sur le site, qu'on va voir les tortues dans leur milieu naturel, qu'on pourra s'en approcher, mais que bien sur, comme toute personne intelligente le sait, qu'il ne faudra en aucun cas les toucher. Il en rajoute pendant encore cinq minutes, expliquant que nos crèmes et nos parfums peuvent transmettre des maladies aux tortues, allant même jusqu'à les tuer dans le pire des cas. La tout est clair, d'autant que c’était en espagnol; la famille équatorienne devrait avoir compris. ET POSANT POUR LA PREMIERE PHOTO, QUE FAIT CETTE GROSSE VACHE DE MERE DE FAMILLE ??? ELLE TOUCHE LA TORTUE !!! Non mais sans déconner, des gros boulets. Et je ne vous parle pas du moment ou elle a jeté discrètement son papier dans le tunnel de lave où on était !!! On a vraiment fait preuve de calme, car on l’aurait bien tué !!!
- Trop d'enthousiasme peut blesser. Quand j'ai vu un lion de mer s'approcher de Céline pour jouer, la frustration d’être remonté sur le bateau trop tôt était trop grande. Ni une, ni deux, je prends juste le temps d'enfiler les palmes et hop à l'eau. Le masque çà attendra. Erreur, c'est très pratique pour voir les fonds marins, surtout quand des rochers volcaniques sont sur le chemin. Le choc a été inévitable. Un morceau de peau s'est barré et je pissais le sang. Mais bon, jouer avec un lion de mer en liberté, çà n'a pas de prix. Tant pis si je me faisais bouffer par un requin, je suis resté. Ça s'est soldé par deux points de suture, plus un en cadeau le lendemain. Question sanitaire, rien à redire sur le centre de soin, mais sur le médecin c'est autre chose. Dans tout les cas, çà valait le coup!!!
Pour le Pérou (en 46 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 119 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
- Beau : ? jours.
- Beau / Pluie: ? jours.
- Pluie : ? jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Cuzco, Trujillo, Llachon.
- pour Céline : Cuzco, Trujillo, Trujillo.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Machu Picchu, Lac Titicaca, Huacas de la Luna.
- pour Céline : Machu Picchu, Lac Titicaca, Vallée Sacrée.
Les flops:
- Petit coup de gueule sur les pires nationalités du monde du voyage. A force de rencontres et de discussions avec les locaux, la question du comportement des différentes nationalités révèle d'étonnantes choses. On passe sur les américains et leur manque d'ouverture sur la langue, ou encore sur les espagnols qui arrive en terrain conquis. Heureusement que tous ne sont pas comme çà. Mais dans le top des nationalités les plus mal vu en Amérique latine, les israéliens arrivent largement en tête.
Après leur service militaire, long mais rémunéré, beaucoup d’israéliens choisissent de partir pour un an en Amérique du Sud. Leur parcours est quasi figé, suivant les traces d'un grand frère ou d'une grande sœur. Du coup, dans certaines villes, les ressortissants israéliens sont extrêmement nombreux, à l'image de Huaraz, devenu la Jérusalem du Pérou.
Depuis longtemps, les critiques fusent sur ces backpackers israéliens, notamment en terme de manque de savoir vivre. Au début, on se disait qu'il y avait de l’exagération et que les locaux étaient tombés sur des exceptions qui se sont vite transformé en généralité dans leur discours. Mais après des dizaines de remarques et de témoignages de personnes de tout horizons et de tout pays, on commence à y croire. Et quand on le vit à notre tour, on y croit d'autant plus. Certains hôtels refusent même de les loger.
Quand ils parlent sur Skype, c'est le monde entier qui en profite. Qu'ils soient seuls ou au milieu d'autres personnes, c'est la même chose, ils hurlent. Et on l'a vécu!!! Quand ils décident de partir à 6h30 du matin, ils ne se préoccupent guerre que tu puisses vouloir dormir. Ils sont peut être quatre devant ta porte mais ils font le même vacarme que dix personnes et ne respectent pas les autres. Et çà aussi on l'a vécu!!! Et ce manque de savoir vivre est d'autant plus important qu'ils se déplacent en groupes.
Mais tout çà n'est rien à coté de leurs comportements inadmissibles dans les montagnes de Huayhuash. On vous a signalé que les camps étaient de véritables déchetteries à ciel ouvert. Tous les guides et les locaux sont unanimes, ce sont les grands groupes d’israéliens qui en sont responsable. On en a pas été témoins, mais on ne voit pas pourquoi ils les accuseraient à tord. Ça dépasse toutes les limites du respect envers le pays qui les accueille!!!
On précise que, bien évidemment, tous ne sont pas comme çà. Beaucoup sont tout le contraire et d'autres ressortissants étrangers ont parfois des comportements bien plus irresponsable qu'eux. Mais trop se comportent comme tel pour ne pas le signaler.
Ne voyez pas d'antisémitisme dans ce flop, mais juste un constat alarmant, en attendant du changement de la part de ces gens qui pourrissent l'image de tout un pays à l’étranger.
- A Huaraz, on en a connu des vertes et des pas mures et même si l'on est vacciné contre la mauvaise fois d'un taxi, çà énerve toujours.
Pour rejoindre le point de départ du trek de la lagune 69, il faut prendre un collectivo depuis Yungay. Ce faisant rare, il est préférable de louer les service d'un taxi. A trois ou quatre, çà ne revient pas beaucoup plus cher. Le deal, cent soles aller-retour en nous attendant sur place. On est trois, c'est parfait.
Sur l'aller, on s’arrête pour s’acquitter des droits d’entrée du parc national et il en profite pour embarquer deux péruviens. On est presque arrivé, se serrer cinq minutes, c'est pas bien grave. Il en profite pour se faire un petit complément au passage.
Sur le retour, deux espagnols attendent leur groupe mais préfèrent redescendre plus tôt. Notre taxi y voit une aubaine pour se faire plus de tunes. On calme vite ces ardeurs en lui disant que cinq minutes à l'aller à six dans la voiture, çà passe, mais que une heure et demi au retour dans les mêmes conditions, c'est trop. On lui fait aussi remarquer que si à l'aller, il s'est fait de la marge, çà ne va pas être le cas au retour. Et la, il fait preuve d'une mauvaise fois de dingue. Il nous soutiens qu'il ne les a pas fait payer à l'aller, mais qu'ils lui payaient seulement un repas qu'ils lui devaient. Connard, tu nous prends vraiment pour des cons!!! Du coup, pour pas planter les espagnols, on acceptera une maigre ristourne. On s'en est sorti comme si on avait pris un collectivo et les deux espagnols ont fini dans le coffre. Ça faisait longtemps qu'on ne s’était pas fait prendre autant pour des cons par un taxi!!!
- Ce flops peut être en communs avec la Colombie, l’Équateur et le Pérou. La passion du film d'auteur dans ces pays est incroyable. Dans les bus se succèdent les films de Chuck Norris et de Van Damme, et les derniers navets américains. Heureusement qu'on ne passe pas nos vies dans un bus!!!
Pour le Bolivie (en 26 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 50 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
Le Temps :
- Beau : ? jours.
- Beau / Pluie: ? jours.
- Pluie : ? jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Sucre, Potosi, La Paz.
- pour Céline : Sucre, Potosi, La Paz.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : Sud Lipez, Sajama, Salar.
- pour Céline : Sajama, Sud Lipez, Salar..
Les flops:
Pour le Chili (en 34 jours)
Les heures passées dans un transport en commun (bateau, bus et collectivo) : 139 heures.
Les kilomètres parcourus : km.
Le Temps :
- Beau : ? jours.
- Beau / Pluie: ? jours.
- Pluie : ? jours.
Les 3 villes préférées:
- pour Bastien : Santiago, Valparaiso, Rio Tranquillo.
- pour Céline : Valparaiso, Santiago, Castro.
Les 3 sites préférés:
- pour Bastien : La Carretera Austral, Lago General Carrera, Paso John Gardner (pour la vue sue le glacier Grey).
- pour Céline : Lago General Carrera, Paso John Gardner (pour la vue sue le glacier Grey), L'Ile de Chiloe.
Les flops:
Salut les copains.
RépondreSupprimerTrès sympa votre blog, j'adhère ça me rappelle un peu Flavien et moi l'année dernière et voila ça me rend mélancolique. Moi aussi je veux repartir!
Sinon je tiens à vous soutenir dans votre lutte contre les français, ils sont vraiment insupportables à l'étranger! Le pire vous en verrez peut être... c'est "le car de français"!
Sinon c'est dommage qu'on ne puisse pas laisser de commentaire à la fin de vos article, pour commenter les photos! Magnifique soit dit en passant!!!
Aller continuer à nous faire rêver pendant que nous on bosse comme des fous!!!
Bisous
i Ola !
RépondreSupprimerC'est les français du cenote Azul ;) Vous n'avez rien perdu au Cristal !!! 50 pesos par personne alors qu'ils nous avaient dit que c'étaient gratuit au Azul hein... ;) On a négocié 60 pesos pour 2 mais ça n'en valait pas la peine...
Profitez bien : en France il fait froid, et le pays a l'air sans intérêt...
Buen viaje amigos
bienvenue a Arnaque land, et encore vous avez du aussi lutter ds les bus non?? car c'est jamais le meme prix non plus, on a eu aussi de belles prises de tete avec les 'ayudante' dans le bus.. mais ca fait partie du charme du pays, si vous allez au Salvador, c'est bien different, bien plus tranquille et loin de arnaque land.. buena suerte fab et arno
RépondreSupprimerCoucou les amis!
RépondreSupprimerbon je vois que vous avancez das votre périple!
Merci pour la dedicasse en effet "je viens plus aux soirée là" le traumatisme est profond!!!
Continuer la section flop c'est trop rigolo j'adore!!!
Arnaqueland!! comment faites vous pour tenir votre calme...???
gros bisous